Je vous rassure tout de suite, c’est un divorce à l’amiable. Lightroom et moi on sait bien que ça n’a jamais vraiment collé entre nous, aussi avons-nous décidé de se quitter bons amis 😉

Tout d’abord, notre première rencontre s’était assez mal passée et je m’étais acoquinée avec lui par défaut. En effet, à l’époque j’étais avec Aperture, le logiciel d’Apple avec qui j’étais si bien ! Mais celui-ci était sur le point de me laisser tomber car Apple avait décidé de ne plus le maintenir. J’avais l’espoir que la marque à la pomme développerai un nouveau programme mais ma désillusion a été immense lorsque j’ai compris qu’elle se contenterai d’un logiciel merdique appelé Photo.

Je me suis donc tournée vers Lightroom à défaut de trouver bonne chaussure à mon pied. Tant de personnes me vantaient ses mérites et ses qualités ! Et je dois bien reconnaître qu’il en avait, mais c’est sans passion que je me suis engagée.

Bref, c’était un mariage de raison.

Et puis cet été j’ai rencontré Capture One, au hasard d’un publicité qui me disait que les propriétaires de Fuji pouvaient bénéficier d’une version gratuite. Je suis donc allée voir et …c’est là que j’ai décidé de quitter Lightroom.

Pourquoi ?

Qu’est-ce que je reproche à Lightroom ?

À la fois tout et pas grand chose. C’est juste que je n’ai jamais réussi à entrer totalement dans sa logique, j’ai toujours été assez confuse avec tous ces outils partout, ces panneaux « bibliothèque, développement, cartes, livres, … » où il fallait tout le temps passer de l’un à l’autre, tant d’éléments autour de la photo, tous ces petits carrés de différents gris qui me perturbaient beaucoup, …

Lightroom

Et surtout, beaucoup, beaucoup, beaucoup de fonctions et de curseurs dont je n’avais rien à faire et j’avais l’impression de passer mon temps à jouer avec la molette de la souris pour chercher l’ajustement qui me convenait.

Bon, j’ai bien réussi à m’y habituer avec le temps, mais ça n’a jamais été très fluide et naturel.

En fait, au début, je ne me servais de Lightroom que comme catalogue pour ainsi dire, et il n’y a que depuis environ 1 an que j’ai commencé à faire les ajustements directement sans passer par Photoshop.

Alors oui, je dois avouer qu’une fois que j’ai commencé à comprendre comment ça fonctionnait, que j’ai même réussi à me créer mes propres presets de développement (oui, oui !), j’ai commencé à prendre plus de plaisir.

Ceci dit, cette technologie dite des « épingles » me donnait le sentiment de faire les choses un peu à la va-vite, sans grande précision et dès lors que je voulais peaufiner un peu une photo, je m’embarquais systématiquement avec Photoshop. Sans compter que lorsque je voulais reprendre une photo quelques semaines après, je ne savais plus du tout où j’en étais avec ces épingles, lesquelles faisaient quoi et comment.

Mais je m’en sortais, plutôt bien que mal. Mais sans passion.

Pourquoi Capture One Pro ?

Ma liste des bénéfices décisifs

Par où commencer lorsque c’est un ensemble d’éléments qui m’ont immédiatement sauté aux yeux à l’ouverture de ce logiciel ? Allez, commençons par le plus large, son interface.

L’interface

Une ergonomie simplifiée et j’ajouterais aussi, une interface sobre et tellement plus élégante que Lightroom ! En fait, je retrouve un peu la « zen attitude » d’Aperture qui me convient bien mieux. Au moins, ici, j’y vois clair 😉

Capture One

Ce que vous voyez ici, c’est une interface entièrement personnalisée avec les outils dont je me sers (et rien d’autre !) Personnellement, la première chose que j’ai faite, c’est de déplacer les miniatures en vertical sur la droite. Étant donné que je peux redimensionner ce panneau comme je veux, c’est beaucoup ergonomique pour moi de le faire de là plutôt que du bas comme c’est le cas avec Lightroom.

Sur la gauche, j’ai mis le menu avec tous mes onglets : dossiers, base appareil photo, ajustements de courbes, couleurs, noir et blanc, presets, metadata et exportation. L’immense différence avec Lightroom, c’est qu’on ne sort jamais de la fenêtre.

En haut, j’ai mes outils « main, zoom, recadrage, perspective, etc …) puis les avertissements, les copier-coller, etc … Et parmi tous ces outils, j’ai pu choisir lesquels garder et lesquels éliminer.

Et il me suffit de faire un clic droit dans chaque section (à gauche, à droite, en haut) pour ajouter ou supprimer un outil, je n’ai donc jamais à aller dans les préférences du logiciel. Tout, absolument tout est personnalisable et de manière tellement simple et intuitive. C’est gé-nial 🙂

Les calques

Aaaah !!!! Finies les épingles sur les photos, je retrouve les calques comme si j’étais sur Photoshop ! C’est tellement plus pratique car avec eux j’ai une vision très claire de tout ce que j’ai fait sur ma photo, je peux les désactiver ou les activer indépendamment, jouer sur leur opacité et leur donner des noms !

J’ai positionné les claques (layers) en haut de ma barre. Comme vous pouvez le voir, j’ai diminué l’opacité de celui des « nuages » car après mon ajustement, je me suis rendue compte que j’y étais allée un peu trop fort

Ce que j’apprécie le plus avec eux c’est qu’on dessine. En effet, sur chaque calque on applique un masque, soit sur l’image entière (généralement pour les ajustements de base), soit sur des parties de l’image sur lesquelles on va venir peindre un masque et y appliquer des ajustements locaux. C’est vrai qu’on peut faire la même chose avec Lightroom mais ici c’est beaucoup plus pratique et direct.

Je me suis surprise à avoir envie de reprendre le crayon de ma tablette, chose qui ne m’arrivait plus du tout sous Lightroom, seulement sous Photoshop lorsque justement je voulais être plus précise et délicate dans mon traitement. Et c’est là où j’ai réalisé à quel point avec Capture One je retrouvais le goût et la sensation du travail méticuleux. Et ça, mes amis, ça n’a pas de prix !

La gestion des couleurs

Ahhhh, la gestion des couleurs ! Du bonheur, rien que du bonheur ! Capture One a 2 outils fantastiques rien que pour elle !

L’outil Balance des Couleurs où on peut les faire varier sur les tons clairs, moyens ou sombres et l’outil Édition de Couleurs où là on sélectionne une couleur sur la photo et on lui fait les ajustements voulus. Autant c’était une partie sur laquelle je continuais de galérer sous Lightroom pour obtenir exactement ce que je voulais, autant avec Capture One j’ai tout compris tout de suite, ça marche merveilleusement bien et qui plus est, là aussi sur des calques 😉

Les outils dédiés à la gestion des couleurs

Finalement les 3 points positifs essentiels que je vous ai décrits – l’ergonomie, la gestion des couleurs et l’utilisation des calques – sont exactement ceux qu’on retrouve sur la toile lorsqu’on cherche des avis sur Capture One. Je ne suis donc pas très originale. Mais c’est précisément pour eux que je quitte Lightroom sans aucun état d’âme, Capture One le surpassant allègrement.

Ceci dit, qui aime bien châtie bien et je lui ai quand même trouvé des petits défauts qui me chagrinent 😉

Les défauts de Capture One

Pas très très graves mais quand même pénibles

La gestion des metadata

Étant professionnelle, je dois absolument remplir correctement toutes sortes de metadata. C’est chiant à mourir mais il n’y a pas le choix.

Je dois donc – entre autres – appliquer des mots-clés aux photos. Et là, Capture One n’assure vraiment pas. En effet, avec le temps je me suis constitué un thesaurus en français et en anglais et pour m’y retrouver je les ai hiérarchisés. Or, contrairement à Lightroom, Capture One ne donne pas la possibilité de choisir quels mots-clés exporter ou non. Et c’est vraiment un problème car si je met un mot-clé qui est au dernier rang, par exemple Continent>Pays >province >ville, il va m’exporter TOUS les mots : Continent>Asie>Pays>Chine>Province>Jiangsu>ville>Nanjing. Et admettons que je supprime Continent, il va me supprimer aussi tous les mots qui suivent 🙁 Or, pour un fichier pro, ça ne fait vraiment pas sérieux d’avoir des mots-clés non triés.

De la même manière, il manque purement et simplement – de manière incompréhensible ! – un champ essentiel dans la partie copyright (ce n’est pas le copyright en lui-même qui existe bien, mais c’est « l’URL de copyright » pour ceux que ca intéresse 😉 )

Donc après renseignement pris auprès de mes collègues, tous les utilisateurs de Capture One passent par Adobe Bridge pour la partie metadata. C’est malin, je suis moi aussi obligée d’y passer du coup 🙁 🙁 J’ajoute cette URL et je nettoie les mots-clés

Capture One est assez cher

En effet, il faut compter 20$ par mois – au lieu de je ne sais plus exactement combien pour Lightroom 😉

Car bien entendu, la version gratuite est limitée, juste ce qu’il faut pour donner l’eau à la bouche et ensuite il faut passer à la caisse pour débloquer toutes fonctionnalités !

Un logiciel peu répandu

Donc qui dit peu répandu, dit peu de ressources sur le web pour apprendre, trouver des trucs et astuces, etc … Et elles sont presque toutes en anglais, même le mode d’emploi de Capture One ! Ce qui fait qu’il est quand même recommandé d’être anglophone pour pouvoir l’utiliser.

Par ailleurs, le logiciel existe bien en Français, mais après l’avoir installé je me suis rendue compte que la traduction était affreuse et parfois incompréhensible. Je l’ai donc remis en anglais 😉

Le passage de Lightroom à Capture One

Comment s’est passée ma transition ?

Raaahhhhh, c’est la question qui brûle les lèvres n’est-ce pas ?

En ce qui me concerne ça s’est bien passé, en tout cas bien mieux que ce que je ne craignais.

Si on maîtrise déjà Lightroom et Photoshop, sincèrement, on connait déjà un grand nombre de fonctions. La maîtrise des bases est donc rapide et aisée. Bien sûr, découvrir toutes les fonctionnalités dans le détail et leurs possibilités demandera du temps, mais pour ma part, en seulement quelques jours je me suis retrouvée « comme à la maison ».

C’est plutôt côté phase d’importation de la photothèque de Lightroom qui a été un peu plus délicate.

Bonne nouvelle : Capture One peut importer une photothèque Lightroom.

Mauvaise nouvelle : les 2 logiciels n’ont pas la même façon de développer les raw et leur outils d’ajustement n’étant pas exactement les mêmes, ils n’agissent donc pas sur les mêmes paramètres. Ce qui veut dire en clair qu’on ne retrouve pas les mêmes développements de photo dans les 2 logiciels !

Exemple de photo traitée sous Lightroom et importée dans Capture One. Ca surprend n’est-ce pas ?

Je n’ai pas trouvé de solution miracle pour conserver les développements Litghroom, mais il faut dire que je ne me suis pas penchée très longtemps sur la question. En effet, comme je le disais au début de l’article, ce n’est finalement que depuis assez récemment que je me suis mise à développer mes photos sous Lightroom, donc j’en avais relativement assez peu, les autres photos étant déjà en format TIFF ou PSD.

Donc plutôt que de m’évertuer à retrouver exactement les mêmes développements, j’ai préféré exporter en TIFF les meilleures photos (notées à partir de 2 étoiles) puis de les importer directement dans Capture One. Ainsi, j’ai gardé mes originaux développés bizarrement sur lesquels je pourrai retravailler si je le souhaite à partir de Capture One, mais j’ai quand même une version achevée en TIFF. Une sorte de backup en fait 😉

Par contre, je pense que pour quelqu’un qui utilise exclusivement Lightroom depuis des années, un éventuel passage à Capture One pourrait s’avérer franchement compliqué si tous ses ajustements ont été faits directement sous Lightroom. C’est dommage …

Côté presets, il y a un logiciel qui permet de les convertir (Preset Converter) car là non plus ils ne sont pas compatibles. La version d’évaluation permet d’en convertir jusqu’à 6 puis après il faut payer. Pour ma part, je n’en avais que 4 donc ça a fait l’affaire. Mais il ne faut pas s’attendre à des miracles et les 4 que j’ai importés ont demandé quand même à être ajustés. Donc là encore, je me dis que ça peut être un sérieux frein pour ceux qui se sont fait une grosse bibliothèque de presets sous Lightroom.

En conclusion

Ce changement de logiciel de développement est un véritable bol d’air ! Ca faisait longtemps que j’attendais une alternative ! Enfin je peux avoir un « workflow » moins mangeur d’espace qu’auparavant quand je passais sous Photoshop (ce qui signifiait duplication de fichiers, parfois extrêmement lourds) tout en ayant le même plaisir ! C’est un logiciel dans lequel je me sens enfin à mon aise, où les choses coulent de source. La balance de ses qualités et défauts est largement positive en ce qui me concerne.

Je quitte donc Lightroom sans aucun regret même si je lui reconnais quand même des qualités. Mais un mariage de raison a peu de chances de faire des heureux de toutes les façons 😉

Comme presque tout le monde, j’ai un abonnement couplé Lightroom/Photoshop et il court encore jusqu’en décembre, ce qui me laisse le temps d’effectuer un passage en douceur. En ce qui concerne Photoshop, je le remplacerai par Photoshop Elements que j’ai déjà et qui me suffit largement en tant que photographe. Après, ma transition sera complète !

Bien sûr, si vous avez des questions n’hésitez pas à me les poser dans les commentaires, j’essayerai d’y répondre dans la limite de mes connaissances et surtout, de mon expérience ! Et si certains d’entre vous utilisent déjà Capture One, n’hésitez pas vous aussi à partager votre expérience !

PS : j’ai essayé d’agrémenter cet article austère par des photos de mes enfants prises cet été et toutes développées avec un rendu différent à chaque fois. C’est que j’ai été la reine du curseur avec mon apprentissage 😉

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14 pensées sur “Adieu Lightroom

  1. bon argumentaire.
    je fais la même démarche, quitter Adobe, avec en plus le problème de l’abonnement insupportable pour un non pro.
    J ‘hésite encore entre Capture One et On1 qui va être bientôt francisé et avoir une possibilité Cloud.

    Sinon merci pour le site et les si belles photos

    1. @dominique-loubet
      Bonjour Dominique et merci pour ton témoignage ! J’ai bien peur que ça ne soit compliqué de se passer d’un système d’abonnement, tous s’y mettent désormais. Mais ça me parait normal pour des outils aussi sophistiqués. Quoi qu’il en soit, la photographie est une discipline qui revient cher, quel que soit le type de photographie qu’on pratique, numérique ou argentique, amateur ou professionnel.
      Et en ce qui concerne ton choix, dis-toi que le meilleur outil sera celui avec lequel tu te sentiras le mieux ! Et ça, c’est très personnel 🙂 🙂

    2. Tu pourrais regarder aussi du côté de Luminar, dont la version 4 annoncée et de plus en plus performante.
      https://skylum.com/fr/blog

  2. Merci pour ce retour ! L’éternelle question sur la gestion des photos et le flux de production…
    Pour ma part, je n’ai jamais réussi à passer à Lightroom, mais je m’interrogeais récemment sur darktable.

    1. @le-ptit-nicolas
      Bonjour Le P’tit Nicolas 🙂 Les questions sont éternelles en effet quand on parle de nos outils ! Mais ça je crois que ce n’est pas simplement réservé aux photographes 🙂 Darktable … il me semble que c’est un logiciel libre, c’est ça ? Tu pourras nous en dire des nouvelles !

  3. Enfin quelqu’un qui partage mon ressenti concernant Lightroom. Je n ai jamais rien compris à son ergonomie rebutante. Je préfère photoshop (cs6) même s’il est loin d être facile à maîtriser. DXO également pas mal pour les filtres et sans abonnement…

    1. @lobry-gerard
      Bonjour Gérard ! En fait, il semblerait qu’on soit plus nombreux que ce que je ne pensais à ne pas être bien avec Lightroom, c’est intéressant !
      Personnellement, en alternative à CS6 je trouve que Photoshop Elements est largement suffisant pour une utilisation photographie. C’est ni plus ni moins un photoshop simplifié mais qui offre vraiment tous les outils importants. Et son immense avantage c’est qu’il ne coûte pas grand chose, autour de 70 euros en licence perpétuelle il me semble, donc, sans abonnement. Il vient accompagné d’un outil de catalogage (Organizer), insuffisant pour un professionnel mais très très bien pour une utilisation personnelle. C’est ce que je recommande à tous mes élèves non pro 🙂 🙂

  4. Pour info tuto
    https://fr.tuto.com/capture-one-pro/capture-one-12-les-fondamentaux-capture-one-pro,128221.html

    Sauf erreur de ma part, Photoshop élément est tronqué par un défaut rédhibitoire : il travaille en 8 bits seulement (soit 256 niveaux de gris par pixel) ce qui me semble notoirement insuffisant pour la photo.

    Pour ma part, Lightroom a été, dès sa version 1 une révélation pour moi, et m’a permis de quitter presque définitivement photoshop que je n’aimais pas du tout. Mais à l’époque il y’avait peu d’autres choix. Il l’est toujours, y compris dans les ajouts de sa dernière mouture.

    Le choix de capture one me parait normal et nécessaire pour un professionnel : on ne joue pas dans la même catégorie… Ses roues chromatiques ressemblent beaucoup à ce qu’on trouve dans les logiciels pro de vidéo comme Da Vinci Resolve ou Final Cut Pro, qu’Apple n’a pas (pas encore ?) abandonné.

    1. @ramel-jean-paul
      Bonjour Jean-Paul et ravie de voir que tu es toujours dans les parages 🙂 🙂
      Comme toujours tes interventions sont constructives et je n’avais en effet jamais fait attention à cette histoire de 8 bits. J’avais, si je me souviens bien, en effet un message qui m’avertissait d’un truc dans le genre mais je ne pensais pas que c’était rédhibitoire pour la photo 🙁
      En fait, je n’ai pas ouvert Photoshop Elements depuis très très trèèèès longtemps (j’ai encore mon abonnement Photoshop qui court jusqu’en décembre 😉 )

      Il va donc falloir que je trouve une autre alternative … Parce que vu comme c’est parti, je sens que je ne vais plus avoir besoin d’un éditeur externe sauf cas exceptionnel – je viens de développer plein de photos sans être sortie de Capture One, ce qui est un exploit pour moi ! 🙂 🙂
      On m’a parlé d’Affinity en tant que concurrent très sérieux à Photoshop pour « seulement » 50 dollars en licence perpétuelle. Tu connais ?

      Sinon, je connais ton enthousiasme pour Lightroom et je pense que quand on a trouvé chaussure à son pied, il ne faut pas s’en défaire ! Je suis sûre que tu dois le maîtriser à fond !
      En fait, cet article s’adresse surtout à ceux et celles qui ne sont pas super à l’aise avec Lightroom et qui sont peut-être à l’affut d’une alternative 🙂

      Bien le bonjour chez toi !

      1. Bonjour !

        Tout d’abord, merci pour votre blog et cet article (c’est mon premier post ici, pour la petite histoire, je viens de vous découvrir en cherchant des infos sur le GFX 50R – bel article à son sujet au passage, le seul intéressant que j’ai trouvé pour le moment).

        Affinity, des amis retoucheurs (pro évidemment, je préfère préciser) m’en parlent depuis longtemps avec le plus grand enthousiasme. Je n’ai pas encore essayé, étant sur photoshop depuis toujours, je n’ai pas encore trouvé le temps et le courage d’essayer.

        Le prix est également un sacré argument, et enfin, il me parait intéressant de faire bouger les lignes, en ne laissant pas le monopole au géant Adobe et en essayant de ne pas être dépendant de lui.

        Bonne journée,
        À bientôt

        Alexandre

        1. Bonjour Alexandre et un grand bienvenue ici 🙂 Je serais bien restée sur photoshop car c’est un logiciel que je maîtrise bien (à force 😉 ) mais Adobe nous forçant à nous abonner pour une suite dont je n’ai plus besoin, ça me faisait cher les quelques rares fois où je l’utilise. Et tu as raison, c’est aussi une manière de faire bouger les lignes, ne plus dépendre d’un monopole qui finissait par m’irriter franchement. Affinity remplit extrêmement bien son rôle en ce qui me concerne, mais il faut dire que je ne l’utilise qu’en tant que photographe. Pour le reste, je laisse la parole aux graphistes. C’est un peu déstabilisant au début, mais j’ai eu vite fait de retrouver mes marques finalement 🙂
          Je te souhaite également une excellente journée !

  5. Bonjour Laurence
    Toujours présent comme tu viens de le constater, même si je me suis fais très discret, j’admire en silence 😉
    Mais la, le silence ne suffisait pas, et l’admiration n’était pas de mise, alors je peux faire un petit coucou 🙂
    Je crois que Capture One est effectivement un outil fait pour toi, et qui va te permettre de renouer avec le bonheur de la post-production 😉
    De mon côté, c’est vrai, j’utilise depuis ses débuts Lightroom au quotidien, mais pas que. En fonction de mes besoins. On1, Luminar, portraitprostudio, DxO, Nik collection entre autres sont aussi de la partie.
    De cette expérience, je peux dire que, pour qui les besoins ne sont pas (pas encore ?) professionnels, On1 et Luminar, avec leur montée en puissance continue, version après version constituent une alternative de choix.
    Je suis plus réservé sur DxO, même si je l’utilise également : leur montée en puissance est surtout commerciale…
    Je n’ai pas encore, par contre, testé Affinity, mais sa réputation est excellente, et tu gagnerais je crois à t’en rapprocher.
    Bise.

    1. @ramel
      Merci jean-Paul pour ces précisions que tout le monde appréciera, j’en suis sûre ! Rien ne vaut mieux que le partage d’expérience 🙂 🙂

  6. […] je peux d’autant moins m’en passer que je travaille avec Capture One (ici le post que j’avais rédigé à propos de ce logiciel) qui, au contraire de Lightroom, utilise constamment les « pinceaux ». C’est vous dire à […]

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