J’adore les urbanistes italiens ! Grâce à eux, on ne s’ennuie jamais. Et même sur cette immense place Caricamento, rénovée il y quelques années grâce en partie à la contribution de l’architecte génois Renzo Piano (celui qui a construit le centre Georges Pompidou à Beaubourg), les pavés ont conservé ce petit air « bordélique » qui me convient parfaitement. Les maçons ont dû bien s’amuser…
C’était le clin d’oeil du week-end 😉
😀 hihihi! Superbe puzzle! J’aime beaucoup cette photo.
Mosaïque un poil bordélique mais c’est ce qui fait tout son charme! Jusqu’aux ondulations des mèches du passant qui passe…
Un patchwork de pavé un brin bordélique ! lol
Bonjour, en voyant cette image, je me dis que cet agencement de formes a été fait pour toi. J’aime cette photo.
Excellent ! Bravo pour ton oeil et cette photo mêlant graphisme et joyeux bordel. 🙂
Joli! À Prague, beaucoup de pavés, et régulièrement des ouvriers refont les pavés. (Pas de ciment entre les pavés, non plus). Ça a beaucoup de charme. Il faudra que je prenne en photo les ouvriers à l’œuvre 🙂
J’adore ce genre de bordel organisé et la vue par au dessus! :-))
L’harmonie dans le chaos!(Comme la conduite en Italie, non?:)).
Quand les deux dimensions prennent toute leur puissance. L’homme s’efface lentement dans cette désorganisation lisse et maîtrisée, il s’évapore, il se réduit au silence dans la vision que nous avons de lui. Peut-être gagne-t-il l’infiniment petit.
Jonas
C’est ce que j’aime chez les Italiens, ils laissent encore de la place au chaos, au terrain vague, au flou errant. A l’humanité un peu de liberté bordélique ! Même dans le carré pavé immobile il y a de l’improbable, l’homme circulaire circule. Tu l’as formidablement bien saisit, j’aime ce regard. Merci Laurence.
Bonjour à vous !
Savez-vous que la plupart des italiens envient aux français notre sens de l’ordre, de la cohérence urbaine, de ce qu’ils appellent la propreté. Au contraire, lorsque nous venons en Italie, nous n’avons de cesse de sourire face à leur joyeux bordel et de l’apprécier, avec en tête de palmarès le linge qui sèche aux fenêtres (chose interdite la plupart du temps en France).
Pour ma part, je dois avouer que c’est un aspect qui me fait respirer, qui fait que je ne m’ennuie jamais, que je peux me dire que j’ai le droit d’être différente. A chaque fois j’ai une expression qui me vient en tête, et bizarrement je trouve qu’elle n’exprime vraiment ce que je ressens qu’en anglais : « The human touch ».
Merci à vous pour votre passage et pour le temps que vous avez consacré à commenter cette image !
Une compo agréable et bien cadrée avec de nombreuses formes géométriques où l’on se promène sans se perdre
j’adore la compo, cette vue de dessus, et le beau graphisme.