Je dirais même plus, Ronan, excellent 😉 Cette photo m’emmène dans une autre dimension, un voyage fulgurant lors duquel je croise des apparitions fugaces… Tu l’as prise en train? Bon début de semaine ma belle
Je dirais même plus, merci Christine 😉 ! C’est effectivement une photo prise dans le train. Ici, nous avons la chance d’avoir encore pas mal de wagons à compartiments et j’avoue que j’apprécie vraiment le fait de pouvoir se lever et de trainer le long du couloir, de s’adosser à la fenêtre, de sortir du compartiment pour parler, de s’assoir sur un strapontin, et même, cerise sur le gâteau, de lier connaissance avec les autres passagers … Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs ces wagons sont en « voie de disparition » car je les trouve « humainement » tellement plus riches !!! Alors quand j’ai la chance de voyager dans un de ces trains, j’en profite !!!
Bonsoir Laurence,
Décidément, j’aime vraiment de plus en plus le noir et blanc (que je trouve plus expressif), surtout lorsqu’il s’agit de belles images comme celle-ci.
Le train est un lieu idéal pour capturer des scènes intéressantes, n’est-ce pas ? ; on peut jouer avec les reflets, le mouvement … ensuite, libre à chacun d’imaginer une histoire 😉
Je ne sais pas si on peut dire que le n&b est plus expressif que la couleur. A mon avis, les sentiments qu’il évoque sont différents, ils sont peut-être plus « authentiques » au sens où la couleur ne vient pas perturber la première perception. Mais parfois, c’est la couleur qui permet de « donner le ton » avant tout. Dans le cas présent, la couleur n’aurait rien ajouté effectivement car mon sujet est le visage stupéfié de cette jeune fille couplé au pied d’homme assis en bas avec un sac (que contient-il ??). Si j’avais conservé la couleur, l’histoire qu’on peut s’inventer aurait été certainement différente. Là, pour ma part, je plongerais plus volontiers dans une sorte de thriller qu’une romance car ce n&b est traité de manière très contrastée, donc très dramatisante.
Et le train est effectivement un lieu assez privilégié aussi parce que, bien souvent, nous avons beaucoup de temps pour prendre des photos 😉
Alors que Jeanne prenait le rail, au dehors le décor, frontière avec sa réalité, menait seul son existence. Jeanne convoitait cette absence de mise au point car elle savait que dans ce urgence, dans cette mouvance, ses rêves prenaient en fin leur raison. Jonas
Je suis ravie que cette photo t’évoques à toi aussi de nombreuses histoires ! Celle qu’elle m’évoque à moi ? Je ne sais pas trop, j’hésite entre thriller et surprise joyeuse. Mais je crois que le noir et blanc que j’ai choisi me ferait plus pencher pour la première hypothèse : cette jeune fille découvre quelque chose qui la stupéfie dans le sac qui est aux pieds de cet homme. Le mouvement crée un sentiment de fuite d’un côté et d’attente de l’autre car visiblement l’homme est assis et semble attendre tranquillement. Qu’y-a-t-il dans ce fichu sac ???
Oui Laurence, c’est pour moi l’histoire d’un transport des sens sur le rail de la nuit profonde, un cri projeté par la fenêtre du rêve dans le sens opposé de la marche du monde…Et le reflet tranchant d’un visage qui s’inscrit avec rage dans le flou qui s’enfuit.
Merci Taoussi pour avoir trouvé le chemin des commentaires !!! Me voici rassurée 🙂
C’est intéressant de voir comme 2 poètes, toi et Jonas D, vous êtes appropriés cette image du point de vue du rêve et de l’urgence. Cela me touche beaucoup !
Une jeune fille chante, tranquille, sa présence s’impose ; une jeune homme immobile, dont on ne voit que la chaussure, se dissimule et, inquiet, s’enfuit vers un ailleurs meilleur; entendra-t’il le chant serein ? deux mondes parallèles dont on ne sait s’ils pourront entrer en communication…
Bonjour Annick !
C’est une très jolie histoire que la tienne qui maintient le mystère en posant la question de la rencontre ou non. Deux mondes parallèles à l’image des rails, mais dont il me semble que grâce à l’effet de perspective, ils se rencontreront un jour.
Excellent !
Merci Ronan !
Je dirais même plus, Ronan, excellent 😉 Cette photo m’emmène dans une autre dimension, un voyage fulgurant lors duquel je croise des apparitions fugaces… Tu l’as prise en train? Bon début de semaine ma belle
Je dirais même plus, merci Christine 😉 ! C’est effectivement une photo prise dans le train. Ici, nous avons la chance d’avoir encore pas mal de wagons à compartiments et j’avoue que j’apprécie vraiment le fait de pouvoir se lever et de trainer le long du couloir, de s’adosser à la fenêtre, de sortir du compartiment pour parler, de s’assoir sur un strapontin, et même, cerise sur le gâteau, de lier connaissance avec les autres passagers … Je ne sais pas pourquoi d’ailleurs ces wagons sont en « voie de disparition » car je les trouve « humainement » tellement plus riches !!! Alors quand j’ai la chance de voyager dans un de ces trains, j’en profite !!!
Comme je suis d’accord…
Pour un romancier comme toi, elle pourrait effectivement être le point de départ d’une « sacrée histoire » !!
et je rajouterais « excellent! » ce visage dans la lumière est tout simplement extraordinaire!
N’est-ce pas ? Cette jeune fille a une expression vraiment intéressante !
Formidable! (Histoire de varier le vocabulaire!!)
Grazie, grazie, grazie 😉
Bonsoir Laurence,
Décidément, j’aime vraiment de plus en plus le noir et blanc (que je trouve plus expressif), surtout lorsqu’il s’agit de belles images comme celle-ci.
Le train est un lieu idéal pour capturer des scènes intéressantes, n’est-ce pas ? ; on peut jouer avec les reflets, le mouvement … ensuite, libre à chacun d’imaginer une histoire 😉
Bonjour Marie,
Je ne sais pas si on peut dire que le n&b est plus expressif que la couleur. A mon avis, les sentiments qu’il évoque sont différents, ils sont peut-être plus « authentiques » au sens où la couleur ne vient pas perturber la première perception. Mais parfois, c’est la couleur qui permet de « donner le ton » avant tout. Dans le cas présent, la couleur n’aurait rien ajouté effectivement car mon sujet est le visage stupéfié de cette jeune fille couplé au pied d’homme assis en bas avec un sac (que contient-il ??). Si j’avais conservé la couleur, l’histoire qu’on peut s’inventer aurait été certainement différente. Là, pour ma part, je plongerais plus volontiers dans une sorte de thriller qu’une romance car ce n&b est traité de manière très contrastée, donc très dramatisante.
Et le train est effectivement un lieu assez privilégié aussi parce que, bien souvent, nous avons beaucoup de temps pour prendre des photos 😉
Excellent 🙂
Merci Leïla Boop !!
Alors que Jeanne prenait le rail, au dehors le décor, frontière avec sa réalité, menait seul son existence. Jeanne convoitait cette absence de mise au point car elle savait que dans ce urgence, dans cette mouvance, ses rêves prenaient en fin leur raison. Jonas
Tiens, je retrouve Jeanne ici ! Comme ça me fait plaisir ! Merci Jonas d’avoir invité ses rêves 🙂
Un effet vraiment fantastique en tout cas !
Merci Bruno F !!
J’aime cette photo: oui, on peut s’amuser à y voir toutes sortes d’histoires en effet!
Je suis curieuse de savoir ce qu’elle t’évoque 😉
Bonjour Céline,
Je suis ravie que cette photo t’évoques à toi aussi de nombreuses histoires ! Celle qu’elle m’évoque à moi ? Je ne sais pas trop, j’hésite entre thriller et surprise joyeuse. Mais je crois que le noir et blanc que j’ai choisi me ferait plus pencher pour la première hypothèse : cette jeune fille découvre quelque chose qui la stupéfie dans le sac qui est aux pieds de cet homme. Le mouvement crée un sentiment de fuite d’un côté et d’attente de l’autre car visiblement l’homme est assis et semble attendre tranquillement. Qu’y-a-t-il dans ce fichu sac ???
Oui Laurence, c’est pour moi l’histoire d’un transport des sens sur le rail de la nuit profonde, un cri projeté par la fenêtre du rêve dans le sens opposé de la marche du monde…Et le reflet tranchant d’un visage qui s’inscrit avec rage dans le flou qui s’enfuit.
Merci Taoussi pour avoir trouvé le chemin des commentaires !!! Me voici rassurée 🙂
C’est intéressant de voir comme 2 poètes, toi et Jonas D, vous êtes appropriés cette image du point de vue du rêve et de l’urgence. Cela me touche beaucoup !
Une jeune fille chante, tranquille, sa présence s’impose ; une jeune homme immobile, dont on ne voit que la chaussure, se dissimule et, inquiet, s’enfuit vers un ailleurs meilleur; entendra-t’il le chant serein ? deux mondes parallèles dont on ne sait s’ils pourront entrer en communication…
Bonjour Annick !
C’est une très jolie histoire que la tienne qui maintient le mystère en posant la question de la rencontre ou non. Deux mondes parallèles à l’image des rails, mais dont il me semble que grâce à l’effet de perspective, ils se rencontreront un jour.
Merci de ton passage 🙂