En fait, ce n’est pas très compliqué, je dirais plutôt que c’est délicat …
Donc, tu dépiautes ton polaroïd tout autour de manière à pourvoir détacher le fond noir de derrière. Ensuite, tu trempes l’image dans de l’eau chaude et très délicatement, avec un pinceau, tu la détaches de la feuille transparente. C’est un moment magique car tu te rends comptes que finalement, l’image est fixée sur une espèce de matière gélatineuse archi fine. Ensuite, tu trempes une feuille dans de l’eau froide cette fois-ci et tu poses la « photo » sur cette feuille. Là aussi c’est super délicat parce qu’en fait tu n’as qu’un espèce d’amas qu’il faut « déplier » et « repasser ».
Dans le cas présent, ce que je regrette, c’est que ma feuille a trop de matière et je pense qu’il faut que j’en trouve une très très lisse. Car la photo est tellement fine qu’elle prend toutes les formes du support.
Ceci dit, je crois qu’il y a effectivement de chouettes choses à faire !!!
Comment as tu fait ? C’est très intéressant, j’aime bien.
Salut Anne !
En fait, ce n’est pas très compliqué, je dirais plutôt que c’est délicat …
Donc, tu dépiautes ton polaroïd tout autour de manière à pourvoir détacher le fond noir de derrière. Ensuite, tu trempes l’image dans de l’eau chaude et très délicatement, avec un pinceau, tu la détaches de la feuille transparente. C’est un moment magique car tu te rends comptes que finalement, l’image est fixée sur une espèce de matière gélatineuse archi fine. Ensuite, tu trempes une feuille dans de l’eau froide cette fois-ci et tu poses la « photo » sur cette feuille. Là aussi c’est super délicat parce qu’en fait tu n’as qu’un espèce d’amas qu’il faut « déplier » et « repasser ».
Dans le cas présent, ce que je regrette, c’est que ma feuille a trop de matière et je pense qu’il faut que j’en trouve une très très lisse. Car la photo est tellement fine qu’elle prend toutes les formes du support.
Ceci dit, je crois qu’il y a effectivement de chouettes choses à faire !!!
Merci, tu m’impressionnes ! Je n’aurai jamais la patience de faire ça. Ni le temps probablement. Ni le matos. Mais Waouh 🙂