Voici un nouveau petit article que je me devais de diffuser car il est le résultat d’une collaboration très fructueuse entre un éleveur de poules et d’oies (Alain), un écrivain magnifique (Marie-Laure) et un artiste photographe inconnu (Emeric peut-être ?). Je vous livre donc toute la splendeur de la chose ! ——————————————
Ce n’est plus Pâques… mais c’est encore une histoire d’oeufs !
Il y a certes les oeufs de Pâques, en chocolat, en sucre et autres gâteries, mais ça, c’est du passé !
Il y a aussi les oeufs de poules, d’ oies, de pigeons et autre gallinacés : la Gâtinaise, la Bourbonnaise, la Houdan, l’Ardennaise, le cou nu du Forez, la Marans…
Dans ce galimatias (excusez du peu !) de noms, un novice a de quoi s’y perdre. C’est sans compter sur Alain, qui, armé de ses boîtes remplies d’oeufs variés et divers, nous a fait tout un cours un soir de grand vent et il est de mon devoir de le faire partager au plus grand nombre.
Donc sur ces photos, vous pouvez observer :
– la richesse des oeufs de poules de Marans, roux caramélisés presque dorés, parfois mouchetés de paillettes brunes.
– la délicatesse blanche d’un oeuf de poule naine dont j’ai oublié le nom (pardon, Alain !).
– la générosité sans fard d’un oeuf d’ oie et la petite plume accolée, témoin de l’origine de la chose (qui croyait que les oies étaient blanches ?)
Enfin, pour terminer cette aventure pittoresque, il était prévu de tester la résistance de ces merveilleuses coquilles dans les soutes à bagages entre le Maine et Loire et la Ligurie, mais oubliées sur la table par inadvertance (ou par prudence peut-être ?), il faudra remettre à plus tard cette expérience dont d’avance je me réjouissais… Dommage !
De ce point de vue, Internet est un messager autrement plus fiable , mais vous ne pourrez en voir que la couleur… Quant à la saveur, pour ceux qui ont eu le plaisir d’en manger, ce fut un régal. Pour les autres, en attendant que les gôuts et les odeurs puissent se transmettre par ce biais, j’espère vous mettre l’eau à la bouche !
Marie-Laure
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Je précise juste pour ceux qui n’ont pas très bien suivi – soyez attentifs s’il vous plait – que le 4ème artiste qui se proposait de tester la résistance des oeufs dans la soute à bagages n’était autre que mon mari adoré, Ryad …
Moi j’en ai goûté,
et je confirme que pour une fois,
le goût est à la hauteur des couleurs.
Ouais ! Ben parlons en des oeufs :moi, j’attendais ceux de Pâques. J’ai cherché dans tout le jardin, mais ces connes de clôches de Rome n’ont pas de GPS*: donc, que dalle…..
M’en fous, j’aime pas le chocolat …
Que de vérités Marie Laure !!
merci a Alain…. l’ommelette fut un vrai régal : éclat de couleur et de saveur !!
bisous à tous
Caro
Précision : le photographe en herbe, c’est aussi moi… avec les moyens du bord !
L’omelette devait être décidément très bonne. J’ai dû rater quelque chose !
Titi : Ne t’en fais pas, je viens d’en parler au Curé de Casella, et il m’a expliqué qu’effectivement le Pape avait décidé de supprimer toute modernité …
elle était tellement bonne que je lui ai mis 2 « m » !!! lol !
voilà c’était juste pour apporter correction à mon erreur…
bizzzzzzzzzzzz
quel plaisir de voir autant de personnes parler de mes oeufs avec bonheur voir du plaisir…
bisous à toutes et à tous
alain
Heureusement qu’on rend hommage à mon oubli supposé ou réel. Je préfère une omelette sur le platque dans ma valise. La prochaine fois, je n’aurai ps d’excuses, mais entre nous Alain, je préfererai un bon gigot 🙂